Concert promenade samedi 6 mai 2023 – gratuit / entrée libre
A la découverte de la Symphonie n° 4 « Italienne » de Mendelssohn
Voyage au coeur du romantisme classique où les compositeurs laissent éclore avec passion leurs inspirations. De son séjour en Italie, Mendelssohn célèbre avec fantaisie et pittoresque l’enchantement de la nature.
2 étapes en partenariat avec la Silène et les maisons de quartier Avalix et La Bouletterie
L’orchestre s’installe directement au pied des immeubles pour jouer au plus près des habitants.
14H00 La Richarderie
- espace vert derrière le 61 rue des Orchidées
15H15 Gambetta
- derrière le 2 rue Max Jacob
La Philharmonie des quartiers nous rejoindra pour un événement ultérieur en cours de préparation.
Une troisième étape au Centre commercial OCEANIS
16H45 devant la FNAC, dans la galerie
La Symphonie est jouée intégralement avec des séquences de médiation entre chaque mouvement. Philippe Hui replace l’œuvre de manière vivante dans un contexte historique et esthétique, il présente les mouvements et leurs thèmes et dévoile les éléments qui composent l’œuvre, guidant et facilitant ainsi l’écoute attentive du public
Au programme
FELIX MENDELSSOHN (HAMBOURG 1809 – LEIPZIG 1847)
Symphonie n° 4 “italienne” en la majeur
Composée en 1830 lors d’un séjour à Rome, elle fut créée le 13 mai 1833 à la Société Philharmonique de Londres sous la direction de Mendelssohn. Il y célèbre les merveilles de l’Italie et les paysages de l’âme. C’est “un chef-d’oeuvre frappé d’un seul coup, à la manière des médailles d’or” écrit son ami Berlioz.
L’écriture est marquée par un grand respect de la tradition héritée des symphonistes avec maîtrise du traitement orchestral et de la forme en quatre mouvements, Allegro vivace – Andante con moto – Menuetto con moto moderato – Finale/Saltarello/presto
Le Saltarello, vigoureuse danse sautée que Mendelssohn découvre à Naples, laisse son empreinte en montrant toutes les ressources de la forme sonate. “Ce sera la pièce la plus joyeuse que j’ai jamais composée, particulièrement dans son dernier mouvement », écrit-il à sa sœur Fanny, excellente musicienne, à laquelle il était profondément lié.
