Artiste ecclectique, Hugues Borsarello fait partie des violonistes les plus demandés de sa génération, autant en tant que soliste qu’en musique de chambre.
Après ses études au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, il entre à 20 ans comme supersoliste à l’Orchestre Metropolitain de Lisbonne. Il poursuit pendant dix ans cette expérience orchestrale avant de décider de se consacrer plus exclusivement à ses projets.
On a pu notamment l’entendre au sein des saisons et des festivals français les plus prestigieux (Salle Gaveau à Paris, Salle Poirel à Nancy, « la folle journée » de Nantes, festival du Périgord Noir etc…) ainsi qu’à l’étranger (Royaume-Uni, Allemagne, Etats-Unis, Japon, Chine, Corée, Moyen Orient, Inde etc.. )
Ceci en compagnie de l’Orchestre des Concerts Lamoureux, de l’Orchestre Symphonique de Bretagne, de l’Orchestre Régional de Basse Normandie… de Gautier Capuçon, Francois-René Duchable, Gerard Caussé, quatuor Modigliani…
Passionné d’acoustique, il s’attache à développer ce qui lui semble primordial dans l’art d’interpréter : le discours, le naturel du phrasé et du son.
En 2014 son intégrale des concertos de Mozart avec « La Follia, orchestre de chambre d’Alsace » qu’il dirige du violon est encensée par la critique, notamment le magazine Diapason qui n’hésite pas à la comparer à celles d’Arthur Grumiaux, référence dans ce répertoire.
Hugues Borsarello joue un violon de Ruggieri c1695 et un archet de Tourte c1790, avec des cordes Savarez/Corelli Cantiga.
Dans le concert « Nouvelles rives, nouveaux rêves » Hugues Borsarello nous livrera son interprétation de deux grands classiques du répertoire : le Concerto n° 5 en La majeur pour violon de Wolfgang Amadeus Mozart et Introduction et rondo capriccioso en La mineur de Camille Saint Saëns